
Après avoir remporté deux années consécutives le Trophée FFSA Lionel Régal qui récompense le Meilleur Jeune du Championnat Sport, Maxime Dojat se présentait cette année comme un des prétendants aux premières loges. Il confirme son ascension en accumulant les podiums, pour finalement se classer au troisième rang du championnat.
Terminés les trophées des Meilleurs Jeunes. Maxime Dojat, qui est né en septembre 2000, reste bien évidemment un espoir du sport automobile, mais son palmarès fait déjà de lui un pilote confirmé, presque un ''vieux briscard'' de la course de côte. En 2019, pour sa première apparition sur une épreuve du Championnat de France, au Mont-Dore, Maxime avait remporté au volant de sa Clio 2 Cup la Coupe du Meilleur Jeune en Production.
L’année suivante, toujours au volant d’une Renault Clio 2 Cup, il s’inscrivait pour la première fois officiellement sur le championnat. Il remportait alors le Trophée FFSA du Meilleur Jeune en Production en terminant deuxième du Challenge Open A/3, en ne comptant que trois points de retard sur son ami Maxence Passaquet… En 2021, c’est au volant d’un TracKing que le jeune Aindinois viendra chercher la deuxième place du Challenge Open CM derrière ''le Taulier'' de la catégorie, Yves Tholy. Des problèmes récurrents, indépendants de sa volonté, pénaliseront Maxime Dojat sur la saison 2022, ce qui ne l’empêchait pas d’accrocher une nouvelle fois la deuxième place du Challenge Open CM.
Pour la saison 2023, Maxime portait son choix sur un Revolt 3P0. Mais du retard dans la livraison de pièces l’obligeait à débuter sa campagne avec son TracKing. Un début de saison particulièrement remarquée puisqu’il se permettait de remporter le groupe CN/CM à Abreschviller en améliorant le record de la classe détenu jusque-là par Fabien Bourgeon, et en se classant au treizième rang. Par la suite, il pouvait enfin s’installer dans le cockpit du Revolt 3P0 avec lequel il n’allait pas manquer une nouvelle fois de s’illustrer. Le nom de Maxime Dojat figurait à l’issue de la saison dans le top 10 du Championnat Sport et s’inscrivait également sur le Trophée Lionel Régal qui récompense le Meilleur Jeune. En 2024, Maxime avait pour idée de se tourner vers le rallye, avant de revenir sur le Championnat de France de la Montagne pour la seconde partie de saison. A son programme figuraient les sept dernières confrontations de la saison, sur lesquelles il monte à sept reprises sur le podium. Des performances de tout premier ordre grâce auxquelles il conserve le Trophée Lionel Régal acquis l’an dernier, et se classe sixième du championnat.
L’ascension de Maxime Dojat au fil des années fait de lui un des hommes forts de la discipline. A l’heure d’aborder cette saison 2025, le jeune Aindinois retrouvait le volant de son Revolt 3P0 : « L’an dernier je n’avais pris part qu’à la seconde partie de saison, et j’avais donc encore des épreuves à découvrir avec le Revolt », débute Maxime. « C’était donc important dans mon esprit de continuer avec cette voiture afin de poursuivre ma progression. »
Le programme de Maxime Dojat en 2024 s’était limité à sept participations sur le championnat, sept courses qui avaient donné lieu à sept podiums. Pour autant Maxime ne comptait pas se reposer sur ses lauriers et mettait à profit la pause hivernale pour apporter de nouvelles améliorations à sa voiture : « Nous avons confié le moteur à Arnaud (Mounier) et de notre côté nous avons apporté des évolutions sur les périphériques, notamment sur les boîtes à air, et nous avons essayer de gagner un maximum de poids sur la voiture et sur le pilote », sourit Maxime qui, avec sa carrure de rugbyman évoluant en deuxième ligne, accuse un poids peu compatible avec les exigences du sport automobile. « Nous avons également opté cette saison pour des pneus Pirelli, ce qui obligeait à revoir certains réglages de châssis. Clairement nous avons vraiment bossé. »

Lorsque durant la saison 2024 on impose son Revolt sur la Course de Côte de La Broque, manche de 2ème Division, et que l’on se hisse sur le podium à sept reprises sur les sept manches du championnat auxquelles on participe, on peut afficher quelques prétentions pour la suite : « Lors de la saison 2024, j’ai essentiellement terminé troisième, et lorsque je parvenais à accrocher la deuxième place c’était en l’absence de Fabien (Bourgeon) », rappelle humblement Maxime. « Là, je voulais à nouveau terminer sur le podium mais à l’issue de confrontations directes avec les leaders du championnat, Marc (Pernot) et Fabien (Bourgeon). J’avais comme objectif d’accumuler les podiums, de terminer troisième du championnat en essayant de remporter ma première victoire, notamment en fin de saison, sur les épreuves que j’avais déjà abordées avec le Revolt 3P0. »
De podium en podium !
C’est dans la nuit du mercredi précédant la Course de Côte de Bagnols-Sabran, manche d’ouverture de la saison, que le Revolt 3P0 de Maxime Dojat était remis sur ses roues après de longs mois de préparations : « On partait donc sans avoir fait d’essais et sans avoir réellement contrôlé que tout était en place. » Un manque de contrôle qui allait lui jouer des tours. Samedi soir Maxime se voyait privé de son chrono sur la première montée de course de Bagnols-Sabran pour non-conformité de la hauteur de caisse. « Jeudi matin, nous avions la possibilité de faire quelques tours de circuit avant de nous lancer sur le championnat, mais au moment de démarrer, la voiture a refusé tout service. » L’équipe LMJ Technology décidait de reprendre malgré tout la route en direction de Sabran, « et de faire une halte chez Emap pour réparer ce problème avant que dans la nuit de jeudi à vendredi je file en direction de Bagnols-sur-Cèze. Un grand merci à Arnaud d’être intervenu sur la voiture, sans lui nous ne pouvions pas débuter la saison. »
Maxime Dojat avait eu l’occasion d’affronter le tracé de Bagnols-Sabran avec son TracKing, mais la découverte du parcours gardois avec un Revolt 3P0 ne sera pas une mince affaire : « Ce n’est pas évident et je suis super content de terminer à la troisième place. Compte tenu des conditions avec lesquelles nous avons dû composer, j’aurais signé de suite pour ce résultat. »
Si Maxime avait déjà roulé sur les pentes du Col Saint-Pierre avec son TracKing, il lançait cette année pour la première fois son Revolt sur l’épreuve cévenole. Une découverte qui se soldait par une troisième place : « Ça se passe plutôt très bien puisque sur le sec je suis dans les chronos réalisés par Christian Merli. Sur un tracé long de cinq kilomètres, je termine à trois secondes de Marc (Pernot), ce qui est pour moi satisfaisant. Après je garde à l’esprit que s’il y avait eu une troisième montée, au cumul Sébastien (Petit) m’aurait devancé », rappelle-t-il en toute humilité. « Il méritait de terminer troisième et moi quatrième, mais le règlement stipule que s’il n’y a que deux montées, le cumul ne joue pas et seule est prise en compte la meilleure montée. Je ne veux également pas occulter que sous la pluie la performance n’était pas au rendez-vous. »
Une nouvelle troisième place attendait Maxime Dojat à Abreschviller où il terminait dans le sillage d’un autre Revolt 3P0, celui de Fabien Bourgeon : « On rencontre en Moselle un premier petit souci mécanique avec un capteur qui ne fonctionnait pas et qui nous faisait perdre de la puissance. Je n’avais plus d’autobloquant ce qui pour m’extraire de l’épingle d’Abreschviller était un vrai problème. Quand tu sais que l’épreuve se résume à une seule épingle et une grande ligne droite derrière, il était compliqué de se mettre en valeur en perdant quatre ou cinq dixièmes à l’épingle. C’est dommage parce qu’à mon sens j’avais la perfo pour faire mieux. »
Pour Maxime Dojat, la Course de Côte d’Hébécrevon sera une totale découverte. L’Aindinois n’avait jamais eu jusqu’alors l’occasion d’affronter le tracé normand : « C’est spécial, avec le bas très technique ce qui nécessite une voiture plutôt ''souple'' et le haut très large et très rapide où il faut avoir des réglages nettement plus durs. J’avoue que nous avons un peu pataugé pour trouver un bon compromis », explique Maxime qui dimanche matin se verra privé de la deuxième montée de course après une casse des vis de son volant. « J’ai flirté avec le rail et je me suis garé. Ce fut le second week-end compliqué de la saison, car même si je termine sur le podium, je suis loin de mes adversaires. »

Le week-end de La Pommeraye débutait sur les chapeaux de roues pour Maxime Dojat qui, sur la première montée de course, ne concédait que quatre dixièmes au leader : « Dimanche matin on roule sous la pluie et sur la montée suivante on se rend compte que j’ai un problème moteur avec une bougie qui a cassé dans le bloc… Les gars ont fait un boulot de dingue pour sortir la bougie, l’extraire du moteur, et j’ai pu rejoindre la prégrille au dernier moment pour la quatrième montée, avant de me rendre compte que la pompe à eau ne fonctionnait plus. Le week-end se terminait là et c’est à nouveau dommage », se désole Maxime qui accède toutefois au podium.
En 2023, Maxime Dojat avait déjà eu l’occasion d’aligner son Revolt sur la Course de Côte de Saint Gouëno où il avait terminé cinquième. L’Aindinois disposait donc de datas qui lui permettaient de ne pas se lancer dans l’inconnue : « Mais là c’est moi qui ne suis pas dans le coup et qui n’est jamais parvenu à trouver les bons réglages. Heureusement que la course est géniale et l’organisation au top, sinon j’aurais été vraiment frustré. Mais il est clair que Marc (Pernot) nous met une belle fessée sur cette épreuve. Finalement la tournée de l’Ouest a été compliquée », avoue Maxime dans un sourire.
A l’heure d’attaquer la seconde partie de saison, Maxime Dojat allait avoir l’avantage de prendre part à des épreuves qu’il avait affrontées la saison précédente avec son Revolt. Ce sera le cas à Marchampt où, pour la première fois de la saison, il ne parvenait pas à se hisser sur le podium, devancé de neuf dixièmes par Sébastien Petit : « J’ai commis un cumul de petites erreurs. Je n’étais pas suffisamment concentré sur ce que je devais faire, et c’est là que l’on passe à côté. Je me suis loupé à l’épingle, je rate une montée, je fais un mauvais choix de pneus, plein de petites choses qui, mises bout à bout, fait que je ne suis pas sur le podium. Après il faut dire que Seb a été meilleur. Mais j’ai pris conscience que je devais bosser, et ce sera la fin de nos revers sur cette campagne 2025. »
A Vuillafans Maxime Dojat retrouvait sa place sur le podium après avoir fait preuve d’une belle régularité dans ses chronos : « C’est ma course préférée, une course de costauds, avec des hautes vitesses, de gros freinages, c’est très dur mais j’adore », reconnait-il. « Je suis hyper content du résultat parce que même si je ne me bats pas pour la victoire, je termine pas loin. Mentalement je m’étais remis la tête à l’endroit et l’équipe a fait un super boulot. »
Vainqueur de la Course de Côte de La Broque en 2024, Maxime Dojat se relançait sur l’épreuve alsacienne, manche de la 2ème Division, sur laquelle il allait butter à deux reprises sur la Nova-Proto de Kevin Petit. Maxime concédait deux dixièmes le samedi, une seconde deux le dimanche : « Je suis très content parce que j’améliore moi aussi l’ancien record en étant plus rapide de plus d’une seconde par rapport à l’an dernier. Kevin était plus vite, et là on comprend qu’il nous manque deux ou trois petits trucs sur la voiture, un peu de grip mécanique, un peu de motricité en sortie d’épingle. On savait qu’on allait devoir bosser là-dessus. »
Maxime Dojat espérait signer cette saison son premier succès sur une manche du Championnat de France de la Montagne. Elle lui tendra les bras à Dunières, mais se refusera à lui pour 148 millièmes, l’écart qui le sépare de Marc Pernot, le vainqueur de l’épreuve auvergnate : « La Broque nous aura servi de test grandeur nature et nous repartions sur de bonnes bases. J’avais conservé des pneus neufs pour ce rendez-vous alors que les autres les avaient utilisés dès Marchampt. L’équipe a fait un super boulot sur la voiture et malheureusement je me rate dimanche matin sur un virage où je braque beaucoup trop tôt, je lâche là six ou sept dixièmes. Je signerai par la suite le meilleur chrono du week-end le dimanche soir, mais ça ne sera pas suffisant. Il m’a manqué un dixième pour remporter cette épreuve. Mais le résultat est là et je n’ai pas de raison d’être frustré. Toute erreur me fait grandir et c’est ce que je veux retenir en plus du fait que pour la première fois je termine devant Fabien. »
Si le Mont-Dore reste une épreuve mythique pour bon nombre de Montagnards, Maxime reconnait que ce n’est pas son tracé favori : « J’ai toujours peiné sur cette épreuve. Je pense que ce que nous avions trouvé à Dunières avec les Pirelli violets, ça ne s’applique pas obligatoirement avec les rouges qui sont plus durs. Nous avons débuté le week-end avec une auto trop souple et le temps de corriger je suis trop loin pour revenir », analyse Maxime qui termine une nouvelle fois sur la troisième marche du podium.
De son propre aveu, Maxime Dojat estime avoir vécu à Turckheim son meilleur week-end de l’année. Sur l’épreuve alsacienne il se positionne une nouvelle fois au troisième rang derrière Corentin Starck et Marc Pernot : « Il est clair que je termine troisième alors qu’à Dunières j’avais accroché la deuxième place, mais ce n’est pas ce que je regarde en priorité. L’important ce sont les chronos que je suis parvenu à réaliser avec les pneus du Mont-Dore face à des adversaires qui ont passé des gommes neuves sur cette épreuve. Tout au long du week-end on est dans le match en concédant moins de deux dixièmes au kilomètre face à un animateur du Championnat d’Europe et un double Champion de France, je suis clairement satisfait. La voiture était bien, moi aussi, et ça fonctionne réellement. Il ne manque juste un peu que de performance sur la voiture », estime Maxime qui ne sera pas crédité d’un chrono sur la troisième montée après une petite touchette sur une chicane : « Je savais que mon chrono était mort et j’ai préféré me garer pour ne pas gêner Marc (Pernot) et Corentin (Starck) qui s’élançaient derrière. »
A Limonest, Maxime Dojat accrochera une nouvelle fois la troisième place dans le sillage de Marc Pernot et de Sébastien Petit : « J’étais bien lors des essais, et j’ai préféré faire l’impasse sur la montée de course du samedi soir qui se déroulait sous la pluie. La météo annonçait du beau temps pour dimanche, mais lorsque j’ai ouvert la porte de la semi, je me suis rendu compte qu’il pleuvait. Tout était à faire », reconnait Maxime qui avant la dernière montée était en lice pour la victoire : « Mais il s’est mis à beaucoup pleuvoir et j’ai préféré assurer parce qu’il était absurde de risquer de casser la voiture alors qu’il n’y avait rien à aller chercher. De son coté, Sébastien est allé très vite sous la pluie, bravo à lui. »
Sur le podium du championnat
Sur les douze épreuves que comptait cette année le Championnat de France de la Montagne, Maxime Dojat est monté à onze reprises sur le podium. Il termine la saison à la troisième place du championnat, atteignant de ce fait l’objectif qu’il s’était fixé : « C’est avant tout la première saison durant laquelle je ne casse rien, ce qui pour un garçon comme moi qui a beaucoup de mal à me canaliser est une prouesse », sourit Maxime. « Ne rien casser en étant performant, j’en suis très fier et même si je n’ai pas réussi à remporter une épreuve, je suis très satisfait du résultat. »

Car s’il fait le bilan de sa saison, Maxime n’oublie pas de faire également celui de sa courte carrière : « C’est ma seconde année en Proto E2-SC, ma cinquième saison sur le Championnat Sport, quand je vois le chemin parcouru je ne peux être que satisfait. Je garde à l’esprit que je me bats contre des pilotes qui ont une expérience acquise auprès de leurs pères et de leurs grands-pères. Georges et Eric Pernot ont précédé Marc, Dan a tracé la route avant Fabien et Gérard Petit s’est construit un palmarès avant Sébastien. Nous on vient un peu de nulle part et nous avons tout à découvrir face à des pilotes qui ont une énorme expertise de la course de côte. J’estime donc que l’on peut être fier de rivaliser avec eux. »
Bilan positif, comme l’est celui de son équipe LMJ Technology : « Nous avions fait le pari il y a deux ans de faire évoluer des pilotes sous notre structure, ne serait-ce que parce que j’adore partager ce que nous parvenons à réaliser. En course de côte on ne dispose certainement pas des budgets que l’on peut trouver sur d’autres disciplines, mais je peux vous garantir que l’on travaille, intensément, et que les résultats obtenus sont le fruit d’un dur labeur. Je suis donc ravi de partager nos réussites avec les pilotes de la structure. Content d’avoir accueilli Laurent Brossard qui disposait d’un TracKing avec lequel il a progressé tout au long de la saison. Que dire de Mylénia (Machado) qui réussit à la perfection son passage en E2-SC en remportant un second titre de Championne de France, et de Baptiste (Thomasset) qui fait carton plein avec le Trophée FFSA du groupe A, le Trophée du Meilleur Jeune en Production et une quatrième place au championnat. C’est eux, grâce à leurs talents, qui sont allés chercher ses succès, mais nous sommes heureux de les avoir accompagnés. »
S’il a une pensée pour les pilotes de sa structure, Maxime Dojat n’oublie pas de remercier l’ensemble de ses soutiens et d’évoquer le colossal travail réalisé par les membres de l’équipe LMJ Technology tout au long de la saison : « Un immense merci à nos partenaires, Corbioli Bâtisseurs Créateurs, Écriture Luisandre, Curt Peinture, Odacyeux, Config Racing, Charmetant Génie Climatique, BH Cars Château-Gaillard, Historicar Solutions, Asa Esca, Nicolas Millet Photography, F2S, 4X4 Challenge, Emap Motors, Yacco. Merci à toute équipe LMJ Technology pour le super travail réalisé cette saison, merci à tous les clients de nous avoir fait confiance ! Merci à ma famille, mes parents et mon frère qui m’aident et me soutiennent à fond. Les amis qui participent de près ou de loin, tous les commissaires et les bénévoles. »
« J’adorerais être au départ du Championnat de France de la Montagne 2026 », avoue Maxime Dojat, avant de dévoiler que pour l’heure les incertitudes sont nombreuses : « Il est clair que le prochain objectif est d’être Champion de France, mais je ne sais pas quand et avec quelle voiture. Le but est d’être au départ à Bagnols-Sabran avec une nouvelle voiture disposant des dernières évolutions », confie Maxime qui met son Revolt 3P0 à la vente avec le souhait de se relancer avec une voiture neuve. « Et nous accueillerons un second TracKing qui sera mis à la disposition de pilotes qui souhaitent disputer des épreuves sous notre structure. Que ceux qui peuvent être intéressés n’hésitent pas à nous contacter » conclut celui qui a 25 ans est déjà une sommité mais encore un espoir de la discipline.
©Bruno Valette
www.ffsamontagne.org / www.cfm-challenge.com
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