
L’objectif premier de Yohan Bardin pour cette saison 2025 était de découvrir la Norma 2 Litres. Une découverte qui se solde par une dixième place au Championnat Sport et une deuxième position dans le Challenge Open CN/2.
C’est sur les épreuves de sa Bourgogne natale que Laurent Bardin, le père de Yohan, assouvissait sa passion pour le pilotage en participants à de nombreux rallyes. Mais un emploi du temps surchargé rendait difficile son implication en rallye, ce qui motivait Laurent à se tourner vers la course de côte, discipline nettement moins chronophage.
Yohan avait 10 ans lorsqu’en 2010 son père décidait de se confronter aux courses de côte de l’Est de la France. A la même période, entre deux matches de rugby, le jeune Yohan qui officiait sur les terrains en qualité de pilier, apprenait les bases du pilotage lors de séance de karting. En 2018, année de ses 18 ans, Yohan Bardin faisait sa première apparition en course de côte avec une Peugeot 206 évoluant en groupe N. Le calendrier de cette saison de découverte sera composé de huit épreuves qui lui permettaient de se familiariser avec l’approche de la discipline. En 2019 ce ne sont pas moins de treize courses de côte qui composeront le programme de Yohan.
La crise sanitaire liée à la Covid 19 contraindra Yohan à mettre la compétition entre parenthèses entre 2020 et 2022. Il fera son retour sur les épreuves régionales en 2023, au volant d’une Formule Renault. En fin de saison, sur la Finale de la Coupe de France de la Montagne, Yohan se classait deuxième de la classe DE/7. Changement de monoplace, mais pas de catégorie pour la saison 2023 que Yohan abordait avec une nouvelle Formule Renault, engagée sur le Championnat de France de la Montagne dans le cadre du Challenge Open DE/7. Cette première approche du CFM lui permettait de découvrir le championnat et d’accrocher en fin de saison la quatrième place de cet Open. En 2024, Yohan repartait pour une nouvelle campagne de France et parvenait à accrocher le podium du Challenge Open DE/7 dans le sillage de Marvin Garampon-Brunet et de Thierry Bertin.
La découverte du Proto Norma 2 litres
Particulièrement à son aise au volant d’une monoplace, Yohan Bardin souhaitait poursuivre son implication sur le Championnat de France en s’installant dans le cockpit d’une Formule 3 R. Mais la voiture est toujours en cours d’homologation et n’a pour l’heure pas encore le feu vert pour prendre part à des épreuves du CFM : « De ce fait j’ai été contraint de changer mon fusil d’épaule et d’opter pour une autre voiture », explique Yohan. « Je me suis dit qu’il était certainement judicieux de porter mon choix vers une Tatuus Formula Master. Mais je n’en ai pas trouvé… »
Le coup d’envoi de la saison s’approchait alors à grand pas et Yohan se devait de trouver une monture : « Un soir, avec mon ami Jérémy Dojat, nous avons passé la soirée à lister l’ensemble des pilotes qui roulaient avec des Norma performantes. Dans la liste se trouvait Xavier Vair, dont la voiture n’était pas en vente. Mais je savais que cette auto était ''propre'', et il a accepté que je vienne la voir. Finalement je m’en suis porté acquéreur. » Yohan Bardin, qui ne cache pas qu’à l’horizon 2027 il aimerait bien rouler dans la catégorie reine du championnat, estimait qu’il était judicieux d’apprendre à se familiariser avec un Proto.
Ce n’est que deux semaines avant que la saison ne débute sur la Course de Côte de Bagnols-Sabran, que Yohan prenait possession de sa Norma M20 FC : « Je n’ai pu faire qu’une seule séance de roulage à Pouilly-en-Auxois, dans le cadre d’un partenariat médiatique que j’avais avec ''Top Gear''. En clair j’ai fait dix kilomètres d’essais, et une vingtaine de kilomètres de prises de vue pour les besoin du reportage. »

Sa fascination pour les monoplaces faisait redouter à Yohan d’être déçu par le comportement de son Proto, « mais finalement dès la prise en main j’ai trouvé cette voiture magique. Les sensations étaient géniales et j’ai terminé les essais avec un énorme sourire qui depuis ne m’a pas quitté ! » Durant les saisons 2023 et 2024, Yohan Bardin a eu l’occasion de s’aligner au départ de l’ensemble des manches du championnat : « De ce fait j’avais l’avantage de ne pas avoir de nouvelles courses à découvrir. En revanche je devais apprendre le maniement de la Norma et me familiariser avec son comportement. De ce fait mon principal objectif était de bien cerner la voiture, surtout ne pas commettre d’erreur, en espérant en seconde partie de saison être compétitif. Pour être honnête, dans un coin de ma tête trottait l’envie de terminer dans le top 10 du championnat pour avoir l’année suivante un numéro parmi les dix premiers. »
C’est donc sur le complexe tracé de Bagnols-Sabran que Yohan Bardin allait découvrir sa nouvelle monture : « Je redoutais cette épreuve qui ne laisse que peu de place à l’erreur. Je n’ai jamais eu autant d’appréhension que lorsque je me suis présenté au départ de cette course », reconnait-il. « A l’issue de la première montée d’essais j’avoue que j’étais perdu et j’avais un doute sur mon choix tellement la voiture me paraissait puissante, large, difficile à mener. Stéphane Krafft m’a rapidement rassuré en m’expliquant qu’à la fin du week-end ça irait beaucoup mieux… Il avait raison. Au final j’ai pris un plaisir fou », ajoute Yohan qui terminait deuxième de la classe CN/2.
Au Col Saint-Pierre Yohan allait découvrir le comportement de sa voiture sous la pluie. Un nouveau défi à relever pour le pilote de la Norma : « Là j’avoue que j’ai eu ma part de chance. La troisième montée a été annulée, et de ce fait le classement final ne se fait plus au cumul de deux montées, mais sur la meilleure ascension. Samedi, sur le sec, j’étais plutôt bien. Dimanche sous la pluie j’ai dû tester mes nouveaux pneus Pirelli et je n’ai pas été en mesure de signer un bon chrono. Au cumul, Jennifer (La Monica) me repassait devant, mais comme cette montée du dimanche ne sera pas prise en compte, je conserve la troisième place, ce qui à mon sens n’est pas juste. J’aurais dû terminer quatrième », estime Yohan que l’on retrouve derrière Tom Diebold et Pascal Campi.
A Abreschviller, Yohan Bardin allait retrouver Jennifer La Monica face à qui il entamait un duel d’où la jeune femme sortira vainqueure : « J’avoue que ce fut un des pires meetings de ma saison », analyse-t-il. « Durant tout le week-end, je me suis retrouvé tout seul et je ne suis pas parvenu à trouver des réglages qui ne me correspondaient pas. J’ai galéré et j’étais vraiment à l’arrêt. »
Si Yohan Bardin avouait sa satisfaction de rouler avec une Norma 2 litres, il reconnait en revanche que les chronos n’étaient pas à la hauteur de ses attentes : « Je me faisais hyper plaisir, mais ça n’était pas performant. » Cette sensation se confirmait à Hébécrevon où Yohan aura du mal à suivre le rythme imprimé par les animateurs de la classe CN/2 : « Je me retrouvais face à Tom (Diebold) qui est un avion, à William Pommery qui connait parfaitement cette épreuve et à Alban Lapotre et Pauline Berton qui un mois auparavant avaient participé à l’épreuve régionale d’Hébécrevon et qui connaissaient donc parfaitement le tracé », explique Yohan. « Sur le bas du parcours je me suis vraiment retrouvé dans le dur », ajoute le jeune Bourguignon qui termine au cinquième rang de sa classe.
S’il termine troisième de sa classe à La Pommeraye, Yohan Bardin a la satisfaction de se positionner en tête des pilotes évoluant en Proto 2 litres sur le championnat, puisqu’il n’est devancé que par Alban Lapotre et Pauline Berton : « J’ai vraiment essayé de travailler un maximum pour comprendre le comportement de la voiture. Sur cette épreuve j’ai bien assimilé le fonctionnement de l’aéro, notamment grâce à Sarah (Bernard-Louvet), m’a coéquipière au sein du Krafft Racing, avec qui nous avons beaucoup échangé. Le travail est toujours payant et j’ai senti que j’étais mieux sur cette épreuve. »
La campagne de l’Ouest se terminait mal pour Yohan Bardin qui à Saint Gouëno sera victime d’un début d’incendie sur sa Norma M20 FC : « Là j’avais beaucoup travaillé avec Marc (Pernot) et Maxime (Dojat) comme je le ferai tout au long de la saison. Je me sentais vraiment près et j’ai voulu attaquer fort d’entrée, ce qui me permet de réaliser un chrono relativement proche de Tom (Diebold). » Mais l’aventure s’arrêtait là : « Cinq cents mètres avant de rentrer dans les paddocks, j’ai senti une forte odeur d’essence et la voiture a pris feu. J’avais des flammes jusque sur le casque. J’étais sur le routier, seul, sans commissaire, et l’extincteur ne s’est pas enclenché. Jennifer qui me suivait s’est arrêtée pour m’aider et finalement trois commissaires sont intervenus pour éteindre l’incendie. »
Au regard des dégâts, rien ne laissait présager de bon pour la suite de la saison : « Le week-end se terminait et je craignais que la saison ne s’arrête également. C’est dur d’être aussi loin de chez toi et de devoir regarder rouler les copains alors que tu ne sais pas de quoi sera faite la suite de ta saison », confie Yohan qui ne veut toutefois pas se plaindre : « Quand je vois ce qu’a enduré Geoffrey (Schatz) à la suite d’un début d’incendie, je me dis que physiquement je n’ai rien, donc je relativise énormément. »
Après observation il apparaissait que la coque n’avait pas souffert, que le faisceau électrique moteur était brulé, plus divers éléments endommagés qui faisaient grimper le montant de la facture finale : « Ce n’était pas anodin, j’avais entre 10 et 15.000 euros de réparation. Tout ça pour une simple goulotte d’essence qui s’est ''démanchonnée''. C’est la faute à personne, c’est comme ça. » La Norma retrouvait les ateliers du Krafft Racing, et les mains expertes de Jérémy Dojat et de Tomy Lelan se penchaient sur la voiture : « Avec Jérémy, Tomy et Stéphane (Krafft) nous avons travaillé plus de 20 heures sur la voiture pour terminer le boulot à la veille de Marchampt. J’avais déjà grillé un joker à Saint Gouëno, je voulais impérativement être au départ de Marchampt, et vraiment je dois les remercier pour le travail qu’ils ont accompli. »

Résident Lyonnais, Yohan Bardin considère que Marchampt est quasiment une course à la maison sur laquelle il espérait s’illustrer. En accrochant la troisième place du groupe CN, la deuxième de la classe CN/2, il peut parfaitement se satisfaire de sa prestation dans le Beaujolais : « Dimanche la journée débutait plutôt mal puisque sur la première montée j’ai coupé la pompe à essence et j’ai calé. Je perds sept secondes mais je me suis relancé tout de même le couteau entre les dents. De ce fait, si Tom (Diebold) et Jennifer (La Monica) sont nettement devant moi, je ne suis pas largué par les autres. Sincèrement c’est le premier week-end où je me suis vraiment battu pour terminer sur un podium de groupe derrière Olivier (Berreur) et Tom (Diebold). »
Il en sera de même à Vuillafans où l’on retrouvait une nouvelle fois Yohan à la troisième place du groupe, deuxième de la classe CN/2 : « C’était compliqué avec la chaleur mais nous avons réalisé un bon week-end durant lequel il a fallu contrer Jenn (Jennifer La Monica) qui revenait fort en fin de meeting. De son côté, Tom a réalisé comme d’habitude une exceptionnelle prestation. Mais pour ma part j’ai vraiment pris du pur plaisir sur ce qui est ma course préférée du championnat. »
A Dunières, c’est sur la troisième marche du podium de la classe CN/2 que Yohan terminait son week-end, dans le sillage de Tom Diebold et de Jennifer La Monica. Même s’il ne cachait pas son enthousiasme de rouler avec cette Norma qui lui apportait de belles sensations, Yohan pensait que sa voiture souffrait d’un dysfonctionnement : « J’avais vraiment beaucoup de sous-virage sur cette épreuve où montées sous la pluie alternaient avec celles sur le sec. Pour moi ce fut catastrophique et j’étais hyper déçu de mon week-end et je savais que là, vraiment, il allait falloir bosser pour espérer terminer le championnat en bonne position. »
Avant de se rendre sur le Mont-Dore, Yohan Bardin engageait sa Norma M20 FC sur le Mont de Fourche. Une épreuve régionale sur laquelle il se classait sixième au scratch et remportait son groupe : « Ce n’était pas prévu à mon programme et nous avons décidé d’y aller pour voir ce qui ne fonctionnait pas. Pour cette épreuve, nous avons mis la voiture dans un configuration diamétralement opposée à celle dont elle disposait jusque-là. Max et Jerem (Dojat) avait travaillé sur l’auto pour trouver une solution avant de disputer le Mont-Dore. Sur ce Mont de Fourche je bats le record de la classe détenu préalablement par Stéphane Krafft et Marc Pernot, j’avoue que bien évidemment ça me remet en confiance. »
Difficile de contester la victoire à Tom Diebold ou à Yannick Latreille qui évolue chez lui sur le Mont-Dore. Dans le Massif du Sancy Yohan allait livrer bataille à Guillaume Jean pour le gain de la troisième place du podium du CN/2. Il échouera à seulement 90 millièmes de son rival au cumul des deux meilleures montées : « J’ai été dans le dur tout au long du week-end », se souvient-il. « Je ne suis pas parvenu à trouver le bon rythme et je n’améliore quasiment pas entre mon premier chrono d’essais et mon dernier chrono de course. Il y avait de l’adversité à quel point qu’au départ de la dernière montée nous étions plusieurs à pouvoir prétendre au podium de la classe, mais également à risquer de se contenter de la sixième place. Finalement je termine quatrième à 90 millième de Guillaume… »
L’envie de découvrir une nouvelle épreuve incitera Yohan Bardin à s’engager sur la Course de Côte de Saint Ursanne – Les Rangiers, manche suisse du Championnat d’Europe de la Montagne : « C’est pour moi une épreuve mythique, impressionnante, et j’étais heureux de rouler sur cette épreuve au sein du Team LMJ Technology. C’est certainement la plus belle épreuve que j’ai disputée de ma vie. Dans ma catégorie, je parviens à être cinq secondes devant le premier européen et je gagne le CN/2 suisse. J’aurais pu faire un podium européen si je m’étais engagé sur cette épreuve, mais je n’ai pas eu le temps d’effectuer les démarches pour se conformer au ''Performance Factor'' », confie Yohan. « Je garde le souvenir d’une course folle, d’un accueil fabuleux, d’un week-end parfait. »
Si en début de saison Yohan Bardin avait dû passer par une nécessaire phase d’adaptation à sa nouvelle monture, sur les dernières confrontations sa maîtrise de la Norma sera nettement plus flagrante, et ses chronos vont s’en ressentir. Tom Diebold, le leader de la classe CN/2, avouait d’ailleurs qu’il observait la progression de son rival : « Je dois en partie mon évolution à Tom qui tout au long de la saison n’a pas hésité à me donner des conseils, à m’expliquer ce que je devrais faire. C’est d’autant plus appréciable que nous étions en confrontation et je l’en remercie sincèrement. »
A Turckheim, Tom Diebold n’hésitera pas à montrer sa caméra embarquée à Yohan afin qu’il comprenne comment aborder certains passages. Yohan mettra en pratique ces précieux conseils pour accrocher la deuxième place de la classe CN/2 sur la manche alsacienne : « On fait un week-end de fou. Tom est devant, mais j’ai vraiment apprécié son attitude et le combat que j’ai essayé de lui livrer. »
En son for intérieur Yohan Bardin rêvait de signer une victoire de groupe. Ce rêve deviendra réalité à Limonest où, aidé par la météo, il accrochait la cinquième place au scratch et remportait le groupe CN : « On ne va pas se mentir, j’ai eu ma part de chance ! Mais j’ai vraiment tout donné durant ce dernier week-end de la saison, et sur chaque montée je me suis livré à fond, pour être de bout en bout à la deuxième place derrière Tom, que la route soit sèche ou humide. » Au départ de la troisième montée les conditions étaient encore précaires, mais alors que Yohan devait s’élancer sous la pluie Tom Diebold bénéficiait d’une accalmie : « Là je me suis dit que c’était mort, que l’avance qu’il avait prise était irrattrapable. »
Au départ de l’ultime montée du week-end, Yohan restait persuadé qu’il ne pourrait pas revenir, d’autant que quelques gouttes de pluie faisaient leur apparition : « Limonest c’est chez moi. Je savais que pour rentrer dans le top 10 du championnat il fallait que je repasse devant Canio Marchione et pour cela je n’avais d’autre choix que de terminer cinquième. J’en avais parlé autour de moi, sans y croire, et on m’a répondu que ce n’était évidemment pas possible. Mais je me suis lancé sur la dernière montée le couteau entre les dents. C’était l’ultime montée de la saison et j’ai tout donné. » A l’arrivée, Yohan Bardin occupe alors la première place du scratch avant que les E2-SC ne s’élancent. Quand les pilotes ayant réalisé les dix meilleurs temps des essais se présentent sur la grille de départ, ce sont des trombes d’eau qui s’abattent sur la route. Sur cette toute dernière ascension, seuls Marc Pernot et Sébastien Petit parviendront à devancer Yohan qui, au cumul de ses deux meilleures montées, se retrouve à la cinquième place du scratch : « Ça m’a permis de charrier amicalement Max Dojat parce que je termine devant lui, mais surtout d’accrocher la cinquième place scratch et la victoire de groupe. »
Dans le top 10 du championnat
Grâce à ce final en apothéose, Yohan Bardin confirme sa deuxième place au classement du Challenge Open CN/2 et se retrouve dixième du Championnat Sport : « A l’heure de quitter Limonest, j’estime avoir réalisé une excellente saison. Terminer au dixième rang du championnat et deuxième du CN/2, j’aurais signé direct. Ensuite, au fil des jours, en prenant le temps de la réflexion, je suis plus mitigé », avoue Yohan. « Je suis loin des records établis par Etienne et Marc (Pernot) en CN/2, Tom (Diebold) me devance sur onze des douze manches, autant dire qu’il reste beaucoup de travail pour parvenir au niveau des meilleurs de la catégorie », analyse Yohan.

Yohan Bardin bénéficie de nombreux soutiens qu’il tient à remercier avant de se tourner vers 2026 : « Je tenais à remercier l’ensemble du Krafft Racing pour cette saison, ainsi que toute l’équipe LMJ Technology — Max, Jerem et Tomy — sans oublier Marc Pernot pour votre aide précieuse ! Je souhaite également remercier l’ensemble de mes partenaires : Top Gear France, Garage Bardin, Enjoy Remedy, Scierie Barbier, Cap Nord Livraison, Abeille Assurances, Alexception, Carburol, Amato Design, Brigodiot Immobilier, Autosur, Adhe Custom, Auto-École Joël, Chalet du Lac, Banque Populaire BFC, Boulangerie Bouhot, Ville de Semur-en-Auxois, Damien Dodille, ASA Nivernais Morvan, GT2i, Ivalto Pirelli, Pirelli France et Nicolas Millet Photography. Un grand merci à mon agent, Maël Jenahi (MJ Groupe), pour ton travail et ton soutien. Merci également à ma famille et à mes proches pour leur présence et leur confiance. »
C’est avec la ferme intention d’améliorer ses chronos et de parvenir à offrir des prestations dignes des meilleurs pilotes ayant évolué en CN/2 que Yohan Bardin se relancera pour une nouvelle saison sur le Championnat de France de la Montagne en 2026 : « Le but c’est d’être au départ de toutes les épreuves du CFM et d’essayer de participer à quelques épreuves européennes. J’aimerai à nouveau défier Tom, et les rumeurs laissent entendre qu’il y aura de nouveaux animateurs dans la classe. L’objectif sera d’être performant pour envisager en 2027 de me lancer dans la catégorie reine du championnat. Je ne franchirai pas cette ultime échelon si je n’ai pas la garantie d’être compétitif », conclut Yohan Bardin.
©Bruno Valette
www.ffsamontagne.org / www.cfm-challenge.com
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